jeudi 25 décembre 2014

Et le Père Noël fut ...

C'est fini pour cette année, le Père Noël a terminé sa tournée et va désormais aller hiberner ! Cette année encore j'ai été gâtée avec entre autres :



- La figurine Pop! de Fluttershy qui est toute mimi jolie et qui sera bientôt rejointe par Rainbow Dash, Twilight Sparkle et Pinkie Pie, coincées à la douane ...

- Le RPG Time and Eternity qui va me tenir éloigné de mon travail pendant quelques temps... Oui je sais c'est mal, je suis une étudiante sérieuse pourtant mais des fois, l'appel de la manette est plus fort...

- Une édition anglaise des Contes des Frères Grimms avec des illustrations et tout et tout à l'intérieur, édité Race Point Publishing
Je ferais un article sur ce bel objet une fois que je l'aurai dévoré !

Pour l'heure je vais siroter un peu de thé histoire de digérer ces derniers repas gargantuesques!

Joyeux Noël à tous !

June

lundi 22 décembre 2014

La soirée



Après un trajet chaotique dans le froid et la pluie, nous arrivons à l'appartement, transis. Nous sommes les premiers arrivés. Je dépose les sacs chargés de cadeaux dans le couloir, enlève mon manteau et mes bottes hautes et me pose dans le salon. Cinq minutes plus tard, on sonne à la porte. C'est l'ami de la famille qui vient nous saluer et m'offrir un cadeau charmant qui fait grossir les hanches.

Il repart instantanément pour se rendre dans une cave à vin et chez un traiteur, histoire de nous offrir l'apéro : vin rouge, tapas et tortilla. Nous sommes cinq dans le salon. La télévision passe des clips en sourdine tandis que nous discutons, partageons. Le rouge fait petit à petit son effet et nous rions de plus en plus. Nous apprenons une révélation qui me rend très curieuse. Je me rue dans la chambre de ma petite sœur et lance tout de go : « Il s'appelle comment ? Il a quel âge ? Il est comment ? Il.... ». Elle me raconte tandis que j'opine. Les grandes sœurs « harpies », c'est un peu nous mais ça, elle s'en doutait.

L'ami s'en va et la porte d'entrée sonne à nouveau. June est là avec son Roméo, les beaux-parents. Je lui dis : « Tu sais quoi ? Elle a un amoureux ». Elle monte les escaliers à toute allure pour en savoir plus. Nous sommes comme ça, dans la famille. Curieuses.

La soirée démarre. Sous le pied du petit sapin, les cadeaux s'entassent. Il faut chercher une place pour déposer les siens. Le deuxième apéritif commence. On essaye de se tenir à carreaux tant bien que mal. Cette fois-ci, c'est du blanc. On prend des nouvelles. Comment va untel, comment se passe la vie, là-bas, dans les autres villes.

Puis nous passons à table. Notre mère a préparé un menu de fêtes. Rouleaux de printemps revisités, plat à consonance brésilienne que je suis incapable de retenir... Les bouteilles s'enchaînent à chaque plat. Les « adultes » sont d'un côté de la table, les plus jeunes de l'autre. Les plus jeunes ? C'est nous. Nous nous mettons à prendre des stylos, à dessiner sur la nappe de papier blanc. On rit. On se raconte. Des bêtises, des âneries. C'est toujours comme ça ici. On devient des p'tites chipies qui font les quatre cent coups.

A certains moments, nous nous retrouvons dans la cuisine. Les trois sœurs ensemble. On discute, rions sous cape. On se cache en fumant des cigarettes.

Enfin le dessert arrive. Je n'en peux plus. Arrive l'échange des cadeaux . On déchire, jette les papiers colorés au sol, admirons les trouvailles, les présents. Puis c'est les embrassades, les remerciements et les « il ne fallait pas ». La soirée passe vite. Il est temps pour eux de partir. Mon Jules et moi restons là pour la nuit. On leur demande ce qu'ils vont faire le lendemain. « Vous allez au temple ? ». L'adorable belle-mère répond d'un air malicieux : « On fait péter. Pour les petits, ils ne sont pas là tout le temps. »

Après les au revoir, nous ne sommes plus que quatre, installés sur les fauteuils. Elles, sont excitées. Elles mettent l'album de Pulp fiction. Notre mère se dandine comme jamais. Puis un second album. La B.O de Grease. Scène de dandinage bis.

Je suis fatiguée. Je déclare qu'il est temps de mettre fin à tout ça. Temps d'aller se coucher, enfin. Embrassades et extinctions des feux. La soirée est désormais finie.

Il faudra attendre l'année prochaine pour revivre ce genre de moments. Nos soirées entre filles combleront cela les mois qui viendront.

Voilà à quoi ressemblent les fêtes chez nous. C'est toujours des retrouvailles, de l'impatience, des rires et des yeux qui brillent sous l'effet du vin. On taira ce qu'il ne faut pas dire. On privilégiera les blagues débiles et les bêtises. On sera les enfants de notre mère et ce retour à l'enfance nous fera du bien.

Malgré le froid et la pluie qui s'animent au dehors, ce lieu, comme un port d'attache, nous réchauffera en cette saison glaciale.

Ambre

jeudi 18 décembre 2014

Breizh



C'est au petit matin, en été, que ces douces effluves viennent nous chatouiller les narines au premier pas posé dehors. Cette douce et belle rosée qui s'efface peu à peu que le temps passe. Cet air revigorant qui est bel et bien là. Cet air qui n'est en aucun cas le même que celui de la ville. Car oui, c'est de la campagne Bretonne dont je vous parle aujourd'hui. Ce petit endroit en France, que l'on appelle « le bout du monde », ce petit endroit qui n'a rien à envier, cet endroit qui me fait rêver encore et encore.

La Bretagne, c'est aussi de longues balades le long d'un océan, déchaîné ou non, ces interminables
contemplations d'un paysage éblouissant, ce calme profond qui règne, de jour comme de nuit, et c'est dans ces moments là qu'on se dit qu'il fait bon vivre en Bretagne. Mais c'est aussi du sport, tel que du surf, du windsurf plus communément appelé planche à voile pour les débutants, ou même encore du stand up paddle, ces trois sports d'eaux qui ici ravissent et rassemblent petits et grands. Parlons peu, parlons bien, parlons de ce qui aussi ravit les papilles gustatives, venir en Bretagne, c'est aussi venir goûter ces délicieux kouign amann, ça a beau être bien gras, sachez qu'il n'y a rien de meilleur que de se faire plaisir en mangeant cette douceur. Mais il y a aussi les crêpes, plus particulièrement celle de St Guénolé dans le Finistère Sud, alors si jamais un jour vous vous y arrêtez, n'oubliez pas d'aller les goûter, je n'en ai jamais mangé d'aussi bonnes !

Alors je pense que vous savez tout maintenant, la Bretagne est un petit paradis, mon petit paradis, la magie y règne, les fées, les farfadets et les lutins veillent sur vous la nuit quand vous êtes endormis, et des légendes aussi intéressantes et stupéfiantes les unes que les autres vous y attendent pour un voyage au cœur du monde magique et féerique.

&

lundi 15 décembre 2014

Fééries et lumières


Le fameux globe installait sur la Comédie
Le vendredi 12 et samedi 13 décembre, la ville de Montpellier a organisé pour les festivités de Noël, une fête des lumières. Le principe est le même qu'à Lyon mais dure sur deux soirées et présente quatre spectacles sur les bâtiments de la ville: la préfecture, l'église St Roch, l'église St Dénis et l'hôtel St Côme. Mon Jules et moi avions décidé de nous y rendre...
Bien que les odeurs de vin chaud, d'aligot et d'autres mets festifs sur la centaine de chalets installés sur l'esplanade commençaient sérieusement à m'écœurer (des fois, trop c'est trop...), je fus émerveillée par ces animations de lumières.


Je me suis retrouvée petite fille, aux yeux remplis d'étoiles à la seule vue des fééries multicolores, drôles et poétiques. Mon cœur se serra en regardant tous ces enfants, criant, courant, regardant le spectacle. Un jour, il y a longtemps, j'étais comme eux. Je les observais vivre dans ce moment où ils croquaient le présent à pleines dents sans se soucier du reste. Ils aimaient la vie, croyaient en tout ça. A ces fêtes, à cette magie.

La nostalgie s'empara de moi en les regardant et en admirant les magnifiques lumières.
Je vous fais partager quelques photos de la ville du soleil en mode hiver.
En ce qui concerne les vidéos, les miennes n'étant pas excellentes, je vous invite à admirer ces spectacles ici et .

Ambre

jeudi 11 décembre 2014

Une question de poids de vue



Première jambe. 
Le haut du jean glisse sur le mollet et caresse le pied.
Arrivé au genou, la deuxième jambe vient s’habiller à son tour.
Et là, c’est le branle bas de combat. 
Mains fermement accrochées de chaque côté de la taille du jean, le tissu vient lentement enfermer la peau. 
C’est parti pour des génuflexions dans tous les sens afin que le jean remonte jusqu’en haut et se ferme pour de bon.

Pas question d’aller faire pipi pendant quelques heures. 
Hors de question. 

L’achat d’un nouveau pantalon va devoir prochainement s’imposer…

Qu’est-ce qui m’est arrivé au juste ?
J’ai pris du poids.
Taille 32 il y a 3 ans, puis progressivement taille 34 puis 36-38.

Pourquoi ?
Parce que j’en ai assez de me priver.
Tout « simplement ».

Si je devais me définir, je dirais que je suis une « gourmande gloutonne ». Cela ne m’avait jamais dérangé pendant mon adolescence. Je m’en foutais. La cellulite, je la voyais et je l’oubliais aussitôt sous une tartine beurre-nutella.
Et puis ce fut l’entrée dans la vie active, la grande ville, les collègues fines, les magazines avec leurs régimes et Cie. Ce fut la chute. L’oubli de mes envies. L’oubli de qui je suis. 
Une fille sexy qui se respecte mange trois haricots et puis c'est tout, n'est-ce pas? 
Mais ce n'était pas moi. 

Il m’en aura fallu des années pour dire aujourd’hui que ça suffit.
Assez des magazines qui prônent des régimes en tout genre comme nouveau mode de vie, assez de ceux qui se moquent de la cellulite des célébrités parce que ça redore notre estime personnelle, assez de ceux enfin qui s’engagent pour que des femmes belles et en forme défilent sur les podiums et qui, dans leur page, ne montrent que des corps retouchés et émaciés.

Assez aussi des regards jetés par l’une, par l’autre dans le métro. Qui te détaillent de haut en bas.
Et oui je n'ai pas le mollet fin comme une danseuse et oui j'ai la cuisse rebondie car je fais partie de celles qui prennent sur le fessier plutôt que sur le ventre.

En vérité je veux être une femme désormais. Je veux être belle. Avoir des hanches, avoir des fesses, et prendre plaisir à malaxer ma peau lorsque j’y applique ma crème hydratante. 

Je ne veux plus compter les calories, me dire que le verre de vin là va s’insinuer dans les plis de ma peau, que la pizza que j’engloutis se verra encore dans dix ans sur mes cuisses.

Je ne veux plus de tout ça. Je veux vivre.Mais attention, je ne prône pas non plus la nourriture super riche, les grignotages intempestifs mais j'en profite. Je veux manger des pâtes avec du beurre fondu qui dégouline et du gruyère râpé ce midi ? Je ne vais pas me priver. Les légumes verts viendront quand j'en aurai ENVIE car c'est de cela qui s'agit.

Bon après soyons honnêtes, je bosse comme une tarée, je fais du sport trois fois par semaine comme une dératée et je continue de lire aussi la presse féminine car j'apprécie aussi l’artistique photographique. Exception faite des modèles amenées à faire le gorille devant l'objectif tout en prenant un air sérieux.

June

lundi 8 décembre 2014

Ils arrivent...


Il est bientôt venu le temps d'ouvrir les cadeaux de Noël et de nous émerveiller devant tant de choses plus merveilleuses les unes que les autres. Ces petites attentions que nous portons au moment de Noël à nos êtres aimés, réveillant en nous de doux émois, une chaleur et une magie enfantine peu importe l'âge.

Comme chaque année, petits et grands écrivent leurs lettres au père Noël, que ce soit en français, en anglais, en allemand et même en latin pour certains si cela les amusent. Pour ma part, ce fut des lettres en anglais, et ce fut un moment magique qui me rappelait toutes les lettres que j'ai pu écrire étant enfant, avec mon âme innocente étant persuadée qu'un gros monsieur habillé de rouge et blanc allait descendre de mon étroite cheminée. Que l'on peut être naïf quand on est enfant. Et puis vînt le moment où mes chers frères et sœurs m'ont fait comprendre que le gros monsieur était en fait cette ravissante maman qui plaçait nos cadeaux sous le sapin, mais la magie de Noël n'est pourtant pas partie en fumée. Mon âme d'enfant à la main, j'ai décidé que je perpétuerai la tradition de la lettre, en précisant que j'ai été très sage, ce qui n'était pas toujours le cas, mais dès fois, il faut bien faire impasse sur nos petites bêtises pour ne pas gâcher cette magie qui nous rend joyeux.

Il sera bientôt venu le temps d'ouvrir les cadeaux de Noël et de nous regarder les uns les autres, admirant les sourires, les clins d’œils, et tout ce qui va avec, car Noël c'est ça, c'est une magie qui s'engouffre dans nos cœurs durant un jour voir plus, nous laissant oublier nos tracas faisant place à une joie incomparable.
&

jeudi 4 décembre 2014

Birchbox aime le mois de Décembre

Et moi j'aime Birchbox de me sauver la mise car pour tout t'avouer, toi petit(e) lecteur(rice) assidu(e), je n'avais aucune idée d'article pour cette semaine. Oui je sais, Shame on me !
Que voulez-vous, le quotidien, le boulot, le dodo et tout s'enchaine dans la semaine...et je n'en suis pas très fière.

Du coup j'ai vaillamment sauté de joie devant ma boîte aux lettres ce soir en découvrant le colis de Birchbox. J'ai couiné de plaisir aussi par la même occasion. Tant qu'à faire.



Et en l'ouvrant j'ai encore plus piaillé quand j'ai vu le contenu. Je me demandais d'ailleurs si pour les fêtes la boîte habituelle ne serait pas rougeoyante ou étoilée. Eh ben j'avais tout faux. Et oui ça m'arrive. Rarement comme toute femme qui se respecte, donc c'est à noter.


Pour ce mois-ci c'est donc une belle pochette, bien grande, couleur bleu nuit et dorée qui contient tout plein de petits produits:


- Une crème pour les mains qui fortifie les ongles et hydrate à fond les ballons grâce aux richesses des fèves de cacao de Natural Brasil, Ekos.


- Un vaporisateur multifonctions pour les cheveux qui coiffe et protège de Beauty Protector. Fini le poil revêche sur la tête qui rebique!


- Un gommage visage de Huygens à la verveine avec des ingrédients à 99% bio.


- Un stylo ombre à paupières de Laura Mercier.

 - Un mascara de Modelco pour papilloner toute la soirée !


C'est Noel avant l'heure avec Birchbox et pour 13 euros c'est beaucoup plus qu'honnête. Foncez si vous n'avez pas encore craqué !


June


lundi 1 décembre 2014

Compte à rebours...


Le 1er décembre ou le début du compte à rebours...

C'est parti pour démarrer les préparatifs des fêtes de fin d'année.
Aujourd'hui, nombre d'enfants (et jeunes adultes...) ont ouvert ce matin la première case de leur calendrier de l'avent. Certains feront même le sapin en famille. Ils poseront les boules puis les guirlandes et le cadet posera l'étoile au sommet de l'arbre, ses yeux luisants comme des astres.
Les gens commencent à s'activer à la recherche de présents pour les êtres qui leurs sont chers. Les enfants écrivent des listes au Père Noël ou découpent dans des catalogues colorés des images rêvées qu'ils désirent ardemment.
Tout le monde bouge, court, vit en ce mois de décembre. On se remet à espérer, on rêve de fééries. On se balade au marché de Noël, admirant les multiples décorations, les objets emprunts de magie et de splendeur. On se délecte des odeurs de marrons chauds, emmitouflé dans un gros pull. On sent les odeurs de sucre nous titiller les narines et le vin chaud nous réchauffer l'estomac.
On lève la tête pour admirer les lumières nocturnes, l'immense sapin au centre-ville qui nous assure dans toute sa majesté, l'exaucement de nos vœux.

On y croit, on veut y croire. Ce mois est une bougie dans la sombre année de notre vie. C'est une lumière fluette, fragile et prête à s'éteindre au moindre souffle mais si hypnotisante...

Trop d'illusions et de désillusions pour moi. La magie s'est définitivement envolée de mon cœur. Le compte à rebours s'est renversé et a changé de sens. Chaque jour qui passe me rapproche des sombres souvenirs de ma mémoire. Chaque jour qui passe m'éloigne à jamais de ces fêtes éblouissantes qui m'ont tant fait rêver.

Je me souviens, petite, de ces préparatifs. J'ouvrais les magazines féminins de ma mère et m'émerveillais de ces photos sur papier glacé où je m'extasiais de ces tables décorées, de ces festins qui me faisaient saliver d'envie. Je me disais que plus tard, oui plus tard, je ferais moi aussi tout cela. Ma maison ressemblerait à des couvertures de magazine, renfermant toutes les beautés de Noël.
Je me souviens de ce jour où nous préparions le sapin. Lorsque j'étais encore la cadette et que je posais fébrilement l'étoile dorée et pailletée sur le sommet de l'arbre. Je me souviens de ces soirs, dans la cuisine et que je me retournais sans cesse pour admirer les lumières scintillantes et multicolores du grand sapin dans le salon.
Je me souviens des listes, des recherches désespérées avec les frères et sœurs pour trouver les cadeaux. Et puis il y avait la veille. Le fabuleux repas en famille. La sortie de nuit pour regarder le célèbre Père Noël saluer la ville sur une tyrolienne au-dessus de nos têtes.
Et puis le lendemain. Nous dévalions les escaliers à notre réveil pour déchirer avec force tous les papiers cadeaux. Le salon devenait un champ de bataille où nos visages rosis et souriants réchauffait l'atmosphère hivernale.

Je me souviens de ces instants. Je me souviens de ces brisures et de la fin de toutes ces choses.
Chaque jour nous rapproche de plus en plus de Noël. De nouveaux enfants sont nés, qui rêveront, croiront en ces instants magiques. Je leur souhaite tellement de rêver... Je ne fais plus partie de ce monde-là.
Tout s'est arrêté pour moi.

Le compte à rebours a commencé. La course aux cadeaux, le gavage de mets et de lumières pour survivre une année de plus.
Mon compte à rebours a commencé. Et plus Noël approche, plus la douleur se ravive.
Plus rien n'a de sens désormais. Je ne suis plus une enfant et je m'efforce de faire semblant pour combler le vide qui m'apparaît toujours plus grand en ce mois de décembre.

Ambre